Églises et chapelles remarquables

Liste des églises et chapelles protégées

au titre de la législation sur les Monuments Historiques

Églises classées

Saint Etienne : L’église d’Ainay-le-Château est dédiée à Saint-Étienne.

Il s’agit d’un édifice construit à différentes époques. La partie occidentale est ce qui reste d’un premier sanctuaire roman, le clocher a été reconstruit au XIIIe siècle. L’ancienne nef romane a vraisemblablement été démolie au XVIe siècle, pendant de la construction du portail de style Renaissance. La construction de l’actuelle nef et du transept remonte au début du XVIe siècle. Jusqu’en 1696, l’église se terminait au niveau de l’arc triomphal actuel, il s’y trouvait une baie de style flamboyant dont il ne subsiste que la partie supérieure aujourd’hui. En 1696, le mur qui donne côté est est ouvert pour construire le chœur. En 1841, est aménagée une sacristie qui est, par la suite, démolie en 1973. ISMH : 10 octobre 1980.

La chapelle Saint-Roch renferme la statue de saint Fiacre du XVIIe siècle. (MH : 9 septembre 1969).

La Sainte Trinité, Chapelle Saint-Maurice : L’église de la Sainte-Trinité est une église romane dont l’essentiel remonte au début du XIIe siècle avec un magnifique portail et un tympan sculpté et clocher. Le clocher surmonté de sa flèche de pierre est un des plus hauts du département. Le tympan présente deux anges qui soutiennent une mandorle où trônait auparavant un christ en gloire que l’on retrouve dans l’église voisine de Meillers. Ils sont entourés d’arcades où sont pendues des lampes. Très rare, l’artiste a signé son oeuvre : « Natalis me fecit ». A l’intérieur, Piéta : peinture sur bois, fin du XVe siècle, école flamande. Le prieuré Saint-Maurice est de style roman (XIIe siècle).

Saint-André : Propriété privée. Eglise du 12e siècle ; 16e siècle (Eglise de Barberier)

Saint-Martin : Eglise du  XIème et au XIIème siècles (Commune de Bellenaves). L’église Saint-Martin fait partie du réseau des Eglises Arc-en-Ciel.

 Saint-Martin : L’église ( XI ET XII ème siècles ) dédiée à l’évèque de Tours est l’oeuvre des moines bénédictins qui se voient confirmer la possession du prieuré de Bessay par Pascal II en 1105. (Eglise de Bessay)

Saint-Martin : Eglise du XIIème siècle. Le chœur, les bras du transept et les bas côtés de la nef sont les plus anciennes parties. A côté de son architecture, l’église est aussi remarquable par ses chapiteaux, ses sculptures, ses vitraux et ses statues classées (Saint Sébastien XVème siècle et Saint Rocle XVIIème siècle).

Le site et l’église de Billy représentent un réel et « remarquable » intérêt aussi bien paysager qu’historique.

Son assise au sein d’une conque de collines verdoyantes, fermée par une rivière paresseuse l’Allier et  traversée par la grande voie romaine reliant Clermont-Ferrand à Autun, répond à l’élan d’évangélisation voulu par le Pape Grégoire Ier, au VIe siècle et guidé principalement, par la règle de St Benoît de NARCIE (534-547) : pour parvenir à la sainteté, il faut le silence, l’obéissance et le travail. Pourquoi ?

Les petits monastères bénédictins sont fondés, à l’écart des villes, dans le fond des vallées, que les moines défrichent souvent avec l’aide de paysans libres et de serfs. Chaque monastère dispose de tout le nécessaire pour vivre: eau, moulin, jardin, ateliers pour pratiquer divers métiers à l’intérieur de la clôture. Celui-ci était indépendant, avec un abbé placé à sa tête, soumis à la juridiction de l’évêque local… Divers documents, sans toujours connaître leurs sources, font mention de l’existence d’un prieuré à Billy, dés le VIe siècle et  l’édifice actuelle avec sa crypte du milieu du XIe témoignent de ce passé. D’après Antonin BESSON dans son livre: « Destin d’une châtellenie » : « le prieuré de Billy dépendait de celui de Jaligny et était placé sous l’invocation de St Nicolas. ».  Pourquoi le monastèere de Jaligny ?

La fondation du monastère bénédictin de La Chaise-Dieu (maison dieu) par Robert de TURLANDE et deux disciples pour évangéliser les paysans du plateau de la Chaise-Dieu  et accueillir les pèlerins va rayonner  au delà des frontières auvergnates, en Espagne, en Italie , en Allemagne… A la mort de son fondateur, en 1067, le monastère comptait plus de 300 moines et un siècle après: 10 abbayes et 340 prieurés dont celui de Jaligny.  Pierre-Roger GAUSSIN dans son livre « Le Rayonnement de la Chaise -Dieu » écrit.. » que le Prieur de Jaligny avait notamment le patronage du Prieur de l’ Eglise de Billy, dont le desservant payait , en 1478, un droit de patronage… »

Emportée dans la dynamique de la révolution grégorienne (1075-1140), ou les pouvoirs spirituel et sacré sont redéfinis par le  Pape Grégoire VI, les monastères deviennent des centres de développement remarquables pour cette époque et pour les chercheurs contemporains en économie et gestion des « pionniers de la gouvernance efficace ». Ainsi le moine bénédictin DOM Hugues MINGUET, coauteur de « L’Ethique ou le chaos », se référant à la règle bénédictine, déclare: « le Monachisme bénédictin est sans doute la plus vieille multinationale du monde »..

Et Billy… perdu dans ce brassage sociologique demeure, par sa coopération… un point « remarquable  » de cette histoire.

 

Saint-Symphorien : Eglise romane du XI e siècle

Saint Georges, saint Lazare : Eglise Saint-Georges du XIIe siècle (MH : 1846). La chapelle dédié à saint-lazare demeure aujourd’hui le seul vestige d’une maladrerie du 14e siècle, annexée à l’hôpital de Bourbon au XVIIIe siècle. L’édifice conserve des culots à moulures concentriques peints en rouge, un placard à ornement, une piscine et plusieurs croix de l’ordre de Saint-Lazare gravées sur les murs. C’est une propriété privée.

 Saint-Georges : Eglise du XIIe-XIIIe siècle (MH : 1967) (En savoir plus…)

St Mazeran, Ste Pétronille : Fondée par saint Gilbert, la chapelle Sainte-Pétronille à Aubeterre, est classée monument historique depuis 1977. Le second monument, l’Église Saint-Mazeran(photo), qui date des XIe et XIIe siècles a été classé à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1933. Elle est à l’origine du bourg de Broût.

St Maurice : Edifiée en partie dans la seconde moitié du XIIè siècle, et terminée au XIIIè, cette église de type roman a été classée Monument Historique en 1886.

Saint-Patrocle : L’église actuelle date dans son ensemble de la fin du XIe ou du début du XIIe, la nef ayant été remaniée à la fin de la période romane. ISMH. Le clocher octogonal et l’abside sont classés MH.

Saint Martin : Cet édifice du XIIe siècle comprend des chapelles latérales du XVe, une abside à plafond peint et un portail sur l’avant-corps avec des chapiteaux à masques (ISMH). Son clocher date des XIIe et XIVe siècles (MH). L’église possède également une belle mise au tombeau en calcaire de 1691 dont les personnages sont de grandeur naturelle, y compris le donateur à genoux. L’extérieur a été très remanié. (En savoir plus)

Saint-Nicolas : Eglise du XIXe siècle. L’église Saint-Nicolas fut construite sur les ruines d’une chapelle romane par l’abbé Joseph Pougnet entre 1878 et 1882, en style néogothique. Il construisit également les églises de Chareil-Cintrat, varennes sur Allier, Bressolles et la cathédrale de Carthage, près de Tunis.

Saint-Barthelemy et Saint-Genès :Petit édifice roman du XIIe siècle à nef unique sans bas côtés. Le portail à tympan moderne s’ouvre dans un avant-corps de maçonnerie surmonté d’un glacis et entouré de deux voussures retombant sur des colonnettes en délit. L’ensemble du site (église, château et parc) est classé.

Saint Côme et Saint Damien : Eglise du XIIe siècle. Elle a donné le nom au village qui s’est construit autour. Ce sanctuaire édifié au XIème siècle par les abbesses de Cusset et orienté d’est en ouest, selon les préconisations des textes de l’époque a été rasé en 1904 et remplacé par une église orientée nord-est sud-est. Celle-ci possède de remarquables vitraux, dont un représentant les deux saints de la paroisse Saint Côme et Saint Damien. Elle été entièrement rénovée à l’occasion de son centenaire en 2005.

Saint-Anne :  Eglise du XIIe siècle ( En savoir plus)

Saint-Blaise/Saint-Martin : L’ancienne église Saint-Blaise, classé M.H. en 1981 remonterait peut être ua Xe siècle, ce qui en feraitl’une des plus anciennes églises du diocèse. L’entrée se fait par un « caquetoire », porche dont le toit de tuiles est soutenu par des piliers de bois. À l’intérieur, les piliers carrés qui séparent la nef des bas-côtés témoignent de l’origine des débuts de l’époque romane de l’église ; la nef est voûtée d’un berceau et les bas-côtés de demi-berceaux.

Saint-Jean-Baptiste : Eglise du XIIe siècle. Elle faisait partie autrefois des fortifications de la ville. Elle a la particularité de posséder un clocher tronqué qui reste le mystère de Charroux.

Saint-Germain/Saint-Laurent : Eglise du XIe siècle. (En savoir plus)

Notre-Dame : Eglise du XI-XIIe siècle. On remarque les influences  à la fois de l’Auvergne et de la Bourgogne. Ce site clunisien est construit en granit du pays. (En savoir plus)

Saint-Pierre : Eglise du XXI e siècle. Comprise dans l’ancienne enceinte du château, elle appartenait à sa première construction. Elle se compose d’une seule nef, dont les arcades sont à plein-cintre et le mur latéral droit décoré d’arcades appliquées, et de deux chapelles latérales, de chaque côté du choeur, formant un transpet de taille réduite. Celle de gauche a été entièrement reconstruite au XIXe siècle par la famille Collas de Chatelperron. Le portail est classé monument historique depuis le 7 juin 1933. Le reste de l’église a été inscrit à l’inventaire supplémentaire le 8 février 1986.

Saint-Denis : L’église date de la dernière période romane bourbonnaise. Son architecture rappelle celle de Besson et comme sa voisine, elle témoigne d’une influence bourguignonne. Le clocher carré édifié sur la croisée du transept a subi quelques avaries au cours de l’histoire. A l’intérieur, on peut voir une Vierge à l’Oiseau, originale statue en bois datant du XVe siècle et restaurée en 1987. MH. Programme de travaux extérieurs jusqu’en 2013

Sainte Radegonde – Eglise romane du XIIe siècle (MH : 1862). L’église est isolée sur une colline, au sud de la RD 2209, à l’écart du bourg. Elle est bordée au sud par le cimetière.

Saint-Patrocle – Eglise du XIIIe siècle possédant un portail polylobé.

Saint-Martin – Eglise du XIIe siècle, elle possède notamment dans deux de ses étroites fenêtres romanes, deux petits vitraux représentant Saint-Martin, évêque, patron de l’eglise. Datant du XIIIe siècle, ce sont les plus anciens vitraux du Bourbonnais (classés Monument Historique le 26 septembre 1903). (MH 1913).

Saint-Julien – Eglise du XIIe siècle (MH 1915).

Saint Denis – Eglise du XIIe siècle (MH 1943). La paroisse de Deux-Chaises dépendait de l’abbaye de Saint-Denis, d’où le vocable de l’église.

Notre-Dame/Saint-Pardoux – Eglise du XIIe siècle. Elle possède la plus grande crypte du Bourbonnais. Le transept est classé MH depuis 1910. En savoir plus

Saint Léger/Sainte Foix – L’église Saint Léger a été bâtie entre le X et XIIIe siècle. Elle fait partie du chemin des églises peintes.À St Léger, les Bénédictins développèrent une iconographie axée sur la Légende des Saints.  Au premier rang de ceux-ci, Austremoine, le premier apôtre de l’Auvergne et le pape Clément.  Les martyrs ne sont pas absents avec St Pancrace, St Martial et Ste Valérie.  Le tout complété par une frise qui déroule des scènes de chasse.  À noter St Georges, le chef d’œuvre du Maître d’Ebreuil. (en savoir plus)
La chapelle Sainte-Foix sur les hauteurs d’Ebreuil a été bâtie au XXe siècle. A coté de la chapelle, trône l’archange Saint Michel terrassant le dragon.

Saint-Pierre :  La nef centrale, voûtée en berceau, est accostée de deux collatéraux et dépourvue de transept. Le chapiteau en pierre de la nef date du XXe siècle et les fonts baptismaux en pierre du XVe siècle. Au dessus du clocher carré s’élève une flèche octogonale en pierre. MH en  1968.

Églises inscrites sur l’inventaire supplémentaire

Saint Raphael, Notre Dame : L’église Notre-Dame est un édifice religieux du XIIe siècle.Elle est monument historique depuis le 27 juin 1925.
Son plan est fait d’une nef avec un transept terminé par des absides. Dans le chœur, les murs sont décorés d’arcatures en mitre. La voûte en berceau est soutenue par des doubleaux qui reposent sur des colonnes. Le clocher se dresse sur une hauteur de trois étages, dont l’assise est aveugle. On retrouve également les vestiges  de l’ancienne église Saint-Raphaël du Breuil.

Saint Sulpice, Saint Pardoux : L’église Saint-Sulpice est du XIIIe etXIXe siècle. Le testament lapidaire de Guillaume des Ages datant de 1416 se trouve en l’église d’Archignat. Une fontaine archaïque près de l’église de Frontenat surmontée d’une niche abrite un buste reliquaire dédié à saint Pierre. La chapelle Saint-Pardoux duXIIe siècle à Frontenat (chapelle privée), ancienne église paroissiale de Frontenat.

Saint-Léger : Eglise du XI et XIIème siècles. Remaniée à plusieurs époques, elle conserve une nef romane flanquée de bas-côtés. Dernier témoin de la présence clunisienne, elle est relayée par le jardin, qui relate, entre plantes potagères et officinales, la mission des moines noirs et la vie dans les campagnes au Moyen-Âge. (Communes d’Arronnes)

Saint-Genes : Modeste édifice roman du XIIe siècle. La flèche, disposée en avant de l’abside sur une charpente octogonale, date du XVIe siècle et a fait l’objet d’une réfection en 1928. Au XIXe siècle, l’église est intégralement restaurée sous l’impulsion du baron d’Aubigny. ISMH.

La Sainte Trinité, Chapelle Saint-Maurice : L’église de la Sainte-Trinité est une église romane dont l’essentiel remonte au début du XIIe siècle avec un magnifique portail et un tympan sculpté et clocher. Le clocher surmonté de sa flèche de pierre est un des plus hauts du département. Le tympan présente deux anges qui soutiennent une mandorle où trônait auparavant un christ en gloire que l’on retrouve dans l’église voisine de Meillers. Ils sont entourés d’arcades où sont pendues des lampes. Très rare, l’artiste a signé son oeuvre : « Natalis me fecit ». A l’intérieur, Piéta : peinture sur bois, fin du XVe siècle, école flamande. Le prieuré Saint-Maurice est de style roman (XIIe siècle). (en savoir plus)

Saint-Paul : L’église Saint-Paul, à nef unique, date du XIIe siècle. ISMH. Son clocher de bois est du XVIe et la cloche de 1527. À l’intérieur, on peut voir les fonts baptismaux du XVe et une plaque de fondation de messes de 1679.

Saint-Gervais, Saint-Julien : Eglise gothique

 Saint-Marcel : Eglise romane typique de l’Auvergne du XIIe siècle

Saint-Aignan : L’église Saint-Aignan est dans son ensemble romane et a été construite vers la fin du XIe siècle. ISMH. La nef de la travée occidentale, ainsi que les vestiges de peintures murales du XIVe siècle figurant une Annonciation ont été entièrement restaurés.

Saint-Laurent : Le croisillon nord du transept de cette église romane date de la fin du XIe siècle, la nef est du XIIe siècle, le choeur des XVIIIe-XIXe siècles et la tour carrée est de la fin du XVe siècle. L’édifice abrite un bénitier en pierre du XVe siècle. ISMH.

 Saint-Pierre : Eglise du XIIe siècle (MH : 17 mai 1933)

Saint-Antoine : Eglise du XIIe siècle classée MH par arrêté du 17 mai 1933. On remarquera le porche d’entrée et la porte murée (extérieur gauche du chevet) empruntée sans doute par les moines; une croyance locale tenace veut en faire l’entrée d’un ancien souterrain qui permettait d’accéder aux bâtiments de La Commanderie; on prétendait aussi que les clous du portail étaient dus chacun à un forgeron différent, forgerons et maréchaux si nombreux dans l’ancien bourg de Braize! La principale cérémonie qu’on y célébrait était la Messe de Saint Antoine, au cours de laquelle la statue du protecteur de la Commune était sortie en procession par le petit chemin qui longeait la Cure, pour revenir par l’ancien cimetière.

St Pierre : Eglise du XIIe siècle édifiée par les Templiers sur les fondations d’un couvent. Parmi les statues présentes dans l’édifice, la Piéta et St Nicolas sont classés.

St Blaise, Notre Dame : L’église Notre-Dame et Saint-Blaise (ISMH) est une ancienne chapelle seigneuriale (XIIe) construite sur une motte.  On peut remarquer le clocher-mur à deux baies, des modillons à copeaux et la pierre tombale d’Alix du Breuil qui était l’épouse d’Aycelin, seigneur de Montgilbert. Cette pierre (MH) est encadrée d’une arcade ogivale et ornées de deux écussons.

St Mazeran, Ste Pétronille : Fondée par saint Gilbert, la chapelle Sainte-Pétronille à Aubeterre, est classée monument historique depuis 1977. Le second monument, l’Église Saint-Mazeran, qui date des XIe et XIIe siècles a été classé à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1933. Elle est à l’origine du bourg de Broût.

Saint Martin : Cet édifice du XIIe siècle comprend des chapelles latérales du XVe, une abside à plafond peint et un portail sur l’avant-corps avec des chapiteaux à masques (ISMH). Son clocher date des XIIe et XIVe siècles (MH). L’église possède également une belle mise au tombeau en calcaire de 1691 dont les personnages sont de grandeur naturelle, y compris le donateur à genoux. L’extérieur a été très remanié. (En savoir plus)

Saint-Pierre : Eglise du XXI e siècle. Comprise dans l’ancienne enceinte du château, elle appartenait à sa première construction. Elle se compose d’une seule nef, dont les arcades sont à plein-cintre et le mur latéral droit décoré d’arcades appliquées, et de deux chapelles latérales, de chaque côté du choeur, formant un transpet de taille réduite. Celle de gauche a été entièrement reconstruite au XIXe siècle par la famille Collas de Chatelperron. Le portail est classé monument historique depuis le 7 juin 1933. Le reste de l’église a été inscrit à l’inventaire supplémentaire le 8 février 1986.

Saint-Martin : Eglise du XI et XIIe siècle, classée MH le 8 mai 1933.

Saint-Denis : Eglise du XIIe siècle. De l’édifice du XIIe siècle il subsiste le choeur à chevet plat voûté en berceau et percé d’une fenêtre sur chacune de ses trois faces, la croisée du transept, qui précède directement le choeur, couverte d’une coupole sur trompes, le croisillon sud, voûté en berceau. Le croisillon nord a été reconstruit au XVe siècle. À l’extérieur, des pignons à deux rampants s’élèvent sur le mur de chevet et sur le fond du croisillon sud. Un clocher de bois domine la croisée. Sur le côté sud du choeur, des traces blanches assez énigmatiques représentent deux triangles renversés s’entrelaçant avec au milieu un coeur. ISMH.

Saint-Patrocle : Eglise du XIIIe siècle possédant un portail polylobé.

Saint Martial – Eglise du XIX e siècle. Le chevet, deux travées et le transept sont romans et remontent au XIe siècle (I.M.H.1927).

Saint Martial/Saint Martin – Eglise du XIIe siècle. Son église romane, dédiée à saint-Martial, premier évêque de Limoges, a été construite en gré rouge et calcaire à la fin du XIIème siècle. La valeur architecturale témoigne de la particularité de cet édifice qui est inscrit à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1960. La beauté de l’édifice est également remarquable auprès des peintures trompe-l’œil du XIXème siècle et par les coquilles sur les trompes de la coupole du transept, évoquant l’un des chemins vers Saint-Jacques de Compostelle.

Sainte-Croix/Saint-Nicolas – Eglise du XIéme et du début du XIIéme siècle.  En savoir plus

Notre-Dame de Bannelle, Saint Cyr, Sainte Julitte – Classé MH en 1927, l’église Saint-Cyr-et-Sainte-Julitte date de l’époque romane. Le clocher, initialement construit à la croisée du transept, a été redéposé sur le narthex, puis a imposé la démolition du narthex lui-même en 1908. Les cloches ont alors été installées sur un chevalet à ras de terre. L’église renferme de nombreux supports sculptés, une fresque murale de la fin du XIIIe siècle et possède aussi des restes de peintures murales du XVe siècle. La fresque, dont il ne reste que la partie supérieure, représente le Christ en gloire dans une mandorle entouré des quatre apôtres et de leur symboles – La chapelle ou oratoire Notre-Dame de Banelle est au coeur du pélerinage éponyme. Situé entre Escurolles et Espinasse-Vozelle, c’est le plus ancien lieu de pélerinage de la région

Saint-Pierre :  La nef centrale, voûtée en berceau, est accostée de deux collatéraux et dépourvue de transept. Le chapiteau en pierre de la nef date du XXe siècle et les fonts baptismaux en pierre du XVe siècle. Au dessus du clocher carré s’élève une flèche octogonale en pierre. MH en  1968.